« Nous cherchons à évoquer dans ce livre comment était notre quête de la vérité pour nous-mêmes, car tout être humain doté de raison et conscient de sa nature est en quête de vérité pour lui-même et par lui-même…l’homme a voulu être libre, Dieu le créa libre, doté d’une raison consciente pouvant avoir la foi et confirmer véridique, mais pouvant aussi démentir et renier, en toute conscience et clairvoyance avec tout ce qui s’ensuit comme responsabilité…Et ceci parce que le doute est le chemin naturel de la foi…En fin de compte, il faut qu’elle soit-la foi- appuyée par la guidance et la providence divine ; en fin de compte aussi, après l’abnégation à l’effort, la foi est un don et une grâce de Dieu. » Mohaled Talbi
- PREFACE
- IBN KHALDOUN : LE PIONNIER DE LA RAISON ET DE LA MODERNITE
- Les prémisses de la mentalité rationnelle et scientifique dans les Prolégomènes d’Ibn Khaldoun :
- Une modernité qui ne se réalisa point :
- Ibn Khaldoun et les sciences intellectuelles :
- Ibn Khaldoun et la philosophie :
- NOTRE CONVICTION C’EST LA CROYANCE EN LA MODERNITE, AU PROGRES ET LE QUESTIONNEMENT DANS LA LUMIERE DE DIEU
- LE DOGME DU DESISLAMISME : L’ISLAM EST LE MAL DES CŒURS, L’ABANDONNER SERAIT LE REMEDE ET LA VOIE DE LA MODERNITE
- Le désislamisme est un choix pour fonder la modernité sur la base de la sortie de l’Islam :
- L’Islam est liberté :
- Le type de désislamiste franc est libre dans son choix et n’est pas blâmable :
- Le type de désislamiste masqué est imposture et machination : déchirer son masque est pour nous une obligation cultuelle individuelle
- La nécessité de faire la différenciation :
- Comment Allah définit-il le musulman ? :
- Comment les “fuqahas’’ (docteurs de la loi) définissent-ils le musulman :
- Le dénominateur commun du désislamisme : désacraliser le Coran et le traiter comme un texte littéraire humain :
- ABDELMAJID CHARFI ET LA THEORISATION METHODIQUE POUR LA DESISLAMISATION MASQUEE
- Abdelmajid charfi se présente, et est présenté, comme un penseur musulman :
- La théorisation pour la thèse qu’il existe plusieurs types d’Islam :
- La théorisation pour considérer Muhammad comme un homme qui a pris, sincèrement, son hallucination extatique comme Révélation et Coran :
- La théorisation pour l’idée que la révélation est un état psychologique inconscient dans lequel émergea ce qui, par la suite, a fermenté dans le cerveau de Muhammad :
- La théorisation pour l’idée que le Coran ne nous est pas parvenu :
- La théorisation pour l’idée que le Coran nous est parvenu comme une compilation, rassemblée à l’époque de Uthman pour des raisons politiques :
- La théorisation pour l’idée que nous avons perdu les aptitudes pour comprendre le Coran tel qu’il est :
- La théorisation pour l’idée que le Coran n’est pas un livre :
- Commençons d’abord par la question de l’écriture :
- La question du papier :
- La théorisation pour l’abandon de la ritualisation des cultes ou leur changement : c’est là où réside la solution radicale pour se réconcilier avec l’époque et la modernité :
- La théorisation pour l’idée que la religion est une institution :
- La théorisation pour se débarrasser de la ritualisation des cultes :
- La quintessence de cette démarche : la collaboration avec le Christianisme pour détruire le Coran fournit le terrain rationnel à toutes les formes de désislamisme :
- Le Coran n’est pas plus qu’une éthique fondée par l’histoire :
- Quel croyant ? Et quelle guidance ? :
- L’Islam des désislamistes est une identité historique :
- Ces trois catégories ne sont pas nouvelles. Nous les retrouvons dans le Coran, et à chacune de ces catégories il y a une réponse :
- NOTRE MONDE ET LA QUESTION DU MAL EN ISLAM, DANS LE JUDAISME ET DANS LE CHRISTIANISME
- Notre monde d’un point de vue scientifique coranique :
- La question :
- La question de : pourquoi et pourquoi pas ?
- De la Torah à l’Ancien Testament :
- La réponse du Judaïsme et de l’Ancien Testament : la terre est maudite et elle est un bagne pour l’homme :
- La réponse du Christianisme et du Nouveau Testament : l’homme nait sur le péché originel. C’est la cause du mal, et son origine c’est la femme :
- Le récit, tel qu’il est intervenu dans l’Ancien Testament, était antérieur. Mais la question est : du point de vue chrétien, comment le péché originel s’est il généralisé à toute l’humanité ? Et comment eut lieu la Rédemption ?
- La réconciliation avec Dieu par la mort de Son Fils Jésus, après sa querelle avec Adam :
- L’ISLAM ET LA PARURE DE LA VIE PRESENTE
- L’homme n’est pas maudit :
- La Terre n’est pas maudite :
- Dieu a assujetti la Terre et les Cieux à l’homme :
- L’arbre n’est pas, dans le Coran, l’arbre du péché qui a causé le mal :
- La femme n’est pas la séductrice qui a causé le mal : la femme et le sexe sont une bénédiction :
- L’ARBRE DANS LE CORAN EST L’ARBRE DU DETACHEMENT DE L’ANIMALITE ET DE L’APPARITION DE L’HOMME CARACTERISE PAR LA CONSCIENCE
- Le premier choix : il est obéissance et en même temps révocation de la promesse de porter l’amana :
- Le deuxième choix : une désobéissance assortie d’un repentir, en même temps accomplissement de la promesse de porter l’Amana :
- LA FOI NI DETERMINISME, NI CERTITUDES, NI DECIDABILITE MAIS VOLONTE ET CERTITUDE DE FOI
- Le temps des certitudes et la vanité des savants :
- La fin des certitudes :
- Ilya Prigogine définit ainsi le but de son livre sus-cité :
- La question du temps :
- Entrée en scène de la philosophie :
- Une foi sans déterminisme, ni décidabilité coercitive, mais par une volition libre et avec certitude :
- La question de l’imitation : dans tous les cas l’Islam rejette l’imitation, et au point d’indécidabilité un choix doit prévaloir :
- Dieu guide l’homme sans contrainte, par l’échantillonnage et la diversification des Signes :
- Ils n’embrassent rien de Sa Science que ce qu’Il veut :
- LA QUESTION DES VALEURS
- Un Occident qui a des valeurs, et un Islam qui n’en a pas :
- L’Occident des valeurs judéo-chrétiennes :
- Le Christianisme est le Nouvel Israél, et les juifs sont des vipères :
- Il faut faire la différence entre le Prophète Issa – paix et salut sur lui – et Jésus le Seigneur :
- Comment l’Occident a-t-il monopolisé la paix, l’amour et la charité ?
- La date du commencement de l’amour et de la charité : le Samedi 4 Avril (14 Nissan) de l’an 33 :
- Le Christianisme est une hérésie juive :
- Le combat Chrétien au nom de l’amour et de la charité : contrainte, torture et meurtre jusqu’à l’extermination :
- La responsabilité du salafisme :
- Dieu a préféré déposer le bien dans le cœur de chaque homme :
- Le cynisme occidental et la falsification des valeurs :
- L’Islam est l’ennemi : l’anéantir est un devoir :
- REPONSE AU DISCOURS DE SA SAINTETE LE PAPE BENOIT XVI
- LE CHRISTIANISME EST VIOLENCE
- Le concept inexistant dans la Sainte Ecriture : La liberté de conscience basée sur la dignité humaine :
- Le Judaïsme est une religion hénothéiste :
- Le Christianisme: une religion qui prône la guerre sainte par le feu et le glaive:
- Les versets du feu et du glaive :
- Deux Jésus dans les Evangiles = Jésus le Roi des Juifs et Dieu du Christianisme, et Jésus /Issa le Prophète – que la paix soit sur lui:
- Jésus enseigne la contrainte en religion et la recommande:
- Inexistence dans le Coran de ce qu’on appelle «Signes du glaive»:
- La direction du combat sacré (jihad) au nom de Jésus, ou la guerre sainte :
- LA PENSEE ISLAMIQUE ET LE DIALOGUE LA THEOLOGIE DU DIALOGUE
- Le dogme Chrétien :
- Le Christianisme est plutôt Paulinisme : Paul l’Apôtre, fondateur du Christianisme était juif hellénisé, schizophrène, qui décrivait sa maladie comme étant une écharde de Satan dans le flanc :
- Paul inventeur de la résurrection :
- Deux Jésus : Jésus le roi des juifs, crucifié et non ressuscité, et Jésus/Issa :
- La question de l’altération :
- Dieu le Père a-t-il voulu le salut de l’homme? Ou bien sa perte ?:
- Le complexe de Jésus est l’opposé du complexe d’Œdipe : le père tue le fils et monopolise le sexe :
- CONCLUSION L’HORIZON EST OUVERT
- POSTFACE
- Index
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